Nous sommes d'accord sur la nécessité de réformer la fiscalité agricole, qu'il s'agisse de la DPA ou des mesures d'amortissement, qui ont induit des comportements ayant contribué à endetter les agriculteurs. C'est un fait que la DPA n'est plus adaptée aux conditions de travail et de marché qui existent aujourd'hui. Nous proposons donc de lancer une mission spécifique sur la fiscalité agricole, pour retravailler en profondeur tous ces mécanismes, afin d'élaborer un système dans lequel les risques agricoles seront couverts de manière plus pérenne, sachant qu'il faut également revoir tout l'aspect assuranciel attaché aux risques, qui fait actuellement l'objet d'un groupe de travail.