Visiblement, la loi NOTRe n'a pas fini de faire des dégâts ! Le Gouvernement parle souvent de proximité, mais il faut bien constater que cet article s'inscrit dans une logique de recentralisation et de renationalisation des politiques. À Strasbourg, nous sommes particulièrement inquiets. Nous comptons conserver un rectorat de plein exercice, qui nous paraît essentiel pour l'application de la politique du bilinguisme, dont nos débats ont montré l'importance, et dans le cadre de la future collectivité européenne d'Alsace, promise par le Gouvernement.