– Je suis très impressionné par ce travail. J'ai une foi naïve dans la science. Je souscris aussi complètement au droit à l'erreur.
Le problème me semble celui de la société de l'hyper-information, du numérique absolu et de la prise à partie déstructurée, sans aucune mesure, réserve ni pudeur. Je ne voudrais pas que les scientifiques en soient victimes. Soyons vigilants à ne pas entraver la liberté de la recherche au motif qu'il existe des fraudeurs.