Cet accord ne suscite pas les débats virulents qui ont entouré le TAFTA ou le CETA. Il est perçu comme équilibré et bénéfique pour la plupart de nos filières – agricole, pharmaceutique, automobile, et j'en passe.
Tant mieux ! C'est sans doute dû, en partie, à l'éloignement ou aux extrêmes différences culturelles, linguistiques et sociales entre nos pays. Mais nos concitoyens ne se sentent pas menacés par cet accord.