Il est bon, il est même nécessaire que nous puissions parler après vous, monsieur le secrétaire d'État, comme vous ne vous êtes pas exprimé au début de nos travaux.
Vous nous avez quasiment annoncé la mort de l'OMC ou, en tout cas, vous avez regretté son impuissance. On est donc tenté de vous poser la question : que fait la France pour qu'il n'en soit pas ainsi ?