Le bâtiment du Val-de-Grâce, que les patients ont quitté en 2016, abrite aujourd'hui des militaires de l'opération Sentinelle, en attendant une reconversion qui a du mal à venir. Plusieurs projets ont été annoncés. Celui présenté par un contrôleur général des armées me semble particulièrement pertinent. Il permettrait à l'État de ne pas céder le foncier à un investisseur privé, en recourant à un bail emphytéotique, de conserver une partie hospitalière pour les blessés très graves civils et militaires, de créer un projet d'incubateur de start-up autour de la santé, et un centre de recherche sur l'intelligence artificielle. Pouvez-vous nous en parler ?