Je pense, comme M. Gosselin, que l'Assemblée nationale peut être fière d'avoir en son sein des fonctionnaires appelés à de telles fonctions parce qu'ils ont les qualités nécessaires et indispensables pour les mener à bien. Vous nous manquerez, monsieur Bergougnous, et vous manquerez à cette maison, riche de gens qui sont, comme vous, des puits de science. Je l'ai constaté depuis un an et demi que j'occupe ma fonction : vous êtes la mémoire de cette assemblée, de ses commissions et des travaux législatifs. C'est très précieux pour nous guider, nous aider, nous permettre d'exercer au mieux nos fonctions. Cette sagesse, également due à votre expérience, permet à chaque fois de peser tous les éléments qui nous permettent d'exercer nos missions au mieux. L'excellent accueil que vous nous avez réservé à la commission des Lois m'a été extrêmement précieux dans l'exercice de sa présidence. Je vous en remercie.