L'amendement tendant à rattraper l'oubli du champ social dans les missions de l'agence me semble pertinent, et nous le soutenons.
Nous avions critiqué le fait que l'ANRU, dans sa première version, ne s'était préoccupée que de la rénovation urbaine des logements et des espaces, sans prendre en compte le champ socioéducatif ou socioculturel ni la dimension associative des opérations de renouvellement urbain. Si l'objet de la future agence est aussi d'embrasser ce champ, je trouve cela intéressant, même si je continue à m'interroger sur les modalités concrètes de mobilisation des différents acteurs et services de l'État oeuvrant dans ce domaine. Qu'en sera-t-il de l'articulation avec les DRAC, les ARS et les autres acteurs ? Il reste beaucoup d'inconnues, et j'espère que nos débats permettront de les lever.