Enfin, quand on voit le Président de la République défendre le chlordécone devant les élus d'outre-mer, en soutenant, contre l'avis de l'Organisation mondiale de la santé et d'un certain nombre de professeurs d'université, que ce n'est pas un produit cancérigène, on mesure à quel point le lobby de la chimie parvient à peser sur les décisions prises dans ce Parlement et par le chef de l'État.