Monsieur Ruffin, je n'ai pas l'habitude de répondre aux interpellations, mais puisque vous remettez en cause notre capacité à débattre, je rappelle que nous parlons de ce sujet depuis quatre-vingt-dix minutes, que tout le monde a pu s'exprimer, dont vous-même, et par deux fois. Un amendement de suppression est un amendement comme un autre qu'un groupe, quel qu'il soit, a le droit de défendre. C'est ce que nous sommes en train de faire. Je vous remercie de respecter ce fait, et de reconnaître que le débat a toujours eu lieu au sein de cette commission, et il en ira toujours ainsi.