Après le constat du groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat – GIEC – , qui nous laissait deux ans pour changer de trajectoire, cette jeunesse réclame la justice sociale et environnementale avec l'énergie du désespoir.
Face à l'urgence et à l'importance des enjeux, je souhaite que le Premier ministre me réponde mais surtout qu'il réponde à la jeunesse du pays : allez-vous enfin changer de cap, avant que votre politique ne nous fracasse sur le mur de l'inconséquence climatique ?