Dans son tweet du 27 novembre, le Président considérait pourtant, me semble-t-il, que l'interdiction pouvait se faire au niveau national ; sinon cela n'aurait été qu'une formule de communication – mais peut-être est-ce le cas.
Nous sommes d'accord avec vous : la France doit être aux avant-postes. C'est pour cette raison que nous vous donnons l'occasion, avec cette proposition de loi, de joindre l'acte à la parole.