C'est exactement ce que l'on constate avec la parole du Président de la République, qu'il a lui-même reniée le 24 janvier dernier, en déclarant que la France ne parviendra pas à se passer « à 100 % » du glyphosate dans les trois ans.
Vendredi dernier, monsieur le ministre, vous n'avez pas écarté la possibilité de permettre l'épandage de glyphosate sur 50 % des surfaces agricoles françaises.