C'est important, car c'est ce que nous demandent les agriculteurs.
Plusieurs d'entre vous, notamment Mme Battistel et M. Chassaigne, ont évoqué la question des CEPP. Nous n'avons pas du tout reculé : il s'agit simplement d'éviter qu'une fois de plus l'amende soit due par le paysan. Vous l'avez tous rappelé, un paysan se suicide tous les deux jours. Son revenu mensuel tourne autour de 400 euros, et on veut encore l'accabler de pénalités, alors que ce n'est pas lui le coupable ?