Il est hors de question de revenir là-dessus.
La solution ne sera pas nécessairement le recours à une autre molécule ; c'est d'abord par un changement des pratiques culturales que nous sortirons du glyphosate. Mais ce changement ne peut pas se faire du jour au lendemain. Nous ne pouvons pas imposer un tel bouleversement à une profession en souffrance. C'est ensemble, main dans la main avec les paysans, que nous allons avancer.