Pourtant, Emmanuel Macron avait pris l'engagement, lors de la campagne présidentielle, de mettre fin à l'hémorragie des emplois industriels et de défendre nos intérêts dans la mondialisation. Cet engagement est aujourd'hui battu en brèche, car la doctrine du Gouvernement est claire : l'État n'a pas son mot à dire dans la conduite des entreprises.