Lors de cette semaine de contrôle de l'action du Gouvernement, le parti présidentiel, majoritaire au sein de notre assemblée, a souhaité inscrire à l'ordre du jour un débat en vue du Conseil européen des 21 et 22 mars.
On ne peut que se demander quel sujet capital pour l'avenir de notre pays nécessitant un rarissime débat préalable dans cet hémicycle sera abordé lors du prochain Conseil européen.
Les sujets migratoires ? En dépit d'une demande du président Donald Tusk, ils ne seront pas abordés. Le Brexit ? À sept jours de la date fatidique, il n'est pas à l'agenda prévisionnel.