Nous devons donc laisser le processus électoral se dérouler.
La France, en raison de nos liens historiques – vous les avez qualifiés de passionnels – avec l'Algérie, est évidemment très attentive au déroulement de cette échéance majeure, et elle appliquera trois principes.
Premièrement, l'Algérie est un pays souverain, et c'est au peuple algérien, et à lui seul, qu'il revient de choisir ses dirigeants et son avenir.