Monsieur le député, je suis d'accord avec vous sur un point : c'est que les associations et les collectivités territoriales ont été prises de court. Pourquoi ? Parce que je pense qu'elles ignoraient que les contrats aidés du secteur non marchand, dont le nombre était de 300 000 en 2016, avaient été financés, dans la loi de finances pour 2017, à hauteur de 200 000 seulement.