Quant au troisième levier, vous l'avez évoqué : c'est le partage de la valeur. Il ne se base pas que sur le salaire, mais aussi sur l'intéressement et la participation – une particularité française extrêmement positive. Vous le savez, mesdames, messieurs les députés, le Gouvernement veut les développer à travers la loi PACTE, notamment dans les petites entreprises car c'est là où les salariés en bénéficient le moins.