De plus, les femmes occupent 80 % des temps partiels et 97 % des emplois d'aide à domicile.
Ce n'est donc pas par réalisme économique que le Gouvernement refuse obstinément d'augmenter le SMIC, ni pour protéger les TPE et PME qui, en réalité, seraient les premières bénéficiaires d'une telle mesure, par la relance de la consommation et de l'activité qu'elle induirait, d'autant qu'elle serait complétée par des mesures d'accompagnement qu'il est tout à fait possible d'étoffer au cours de notre débat.