Monsieur le ministre, comment expliquez-vous l'évolution du montant de la dette, d'une part, et de la contribution française au budget européen, d'autre part ?
Par ailleurs, si les recettes fiscales sont meilleures que prévu, quid de la croissance du PIB ? Serait-elle finalement supérieure à la prévision de 1,5 % ? Dans le même ordre d'idées, qu'en est-il de l'impact sur la croissance et les rentrées fiscales de la hausse du pouvoir d'achat induite par les mesures prises par le Gouvernement et la réduction du chômage ?