Je serai bref. Ce n'est pas le rôle de l'État de s'occuper de jeux. Un opérateur privé est parfaitement compétent, à partir du moment où la recette fiscale revient à l'État, qui est là pour réguler strictement et lutter contre l'addiction au jeu.
Je le répète, notre objectif en deuxième lecture est bien d'améliorer le texte. Des inquiétudes persistent, notamment sur le contrôle de l'addiction des jeunes. Certains, comme M. Blanchet, estiment qu'il faut aller plus loin et renforcer le dispositif. J'y suis ouvert.
À l'issue de ces modifications, je suis persuadé que, comme pour ADP, la régulation sera plus solide qu'aujourd'hui.