Notre amendement visait aussi à rétablir ce qui avait été supprimé au Sénat, mais en apportant deux précisions importantes, déjà défendues en première lecture : la fixation du seuil à deux mégawatts, ce qui permet d'englober des opérations d'autoconsommation collective ; l'exigence d'un avis conforme de la Commission de régulation de l'énergie.