Si le sujet a fait couler beaucoup d'encre, Monsieur le ministre, c'est parce que, quand notre collègue Gilles Lurton lui avait posé la question lors du débat budgétaire, M. le ministre de l'action et des comptes publics avait mal répondu : il avait dit qu'il n'y aurait aucun prélèvement, que le jeu ne serait soumis à aucune taxe – ce qui n'était pas vrai. Soit votre collègue avait omis des éléments, soit il était mal informé.