Sarkozy, à l'époque, réclamait un tiers pour les actionnaires, un tiers pour les salariés et un tiers pour l'investissement. Une telle répartition serait aujourd'hui un progrès, puisque deux tiers des profits reviennent aux actionnaires et que les autres n'ont qu'à se partager les miettes. J'ai dit à mon collaborateur que tout cela, c'était du pâté d'alouette. Il faut croire que je me suis mis à parler comme Macron, avec ses carabistouilles et sa poudre de perlimpinpin, parce que mon collaborateur ne savait pas ce qu'était le pâté d'alouette.