Tout cela, par une volonté présidentielle obligeant à renégocier une convention qui devait rester en vigueur jusqu'en 2020.
En réalité, monsieur le Premier ministre, vous voulez faire porter le chapeau de vos décisions aux partenaires sociaux, en les critiquant et en les divisant. C'est vous qui avez décidé de transférer les cotisations chômage.
C'est vous qui avez décidé d'ouvrir les droits au chômage aux démissionnaires et aux indépendants, qui ne l'ont pas demandé.