La solution, c'est non pas la finance verte, mais l'écologie populaire.
Nous n'avons plus de temps à perdre en interminables grands bla-bla nationaux. La fin du monde n'attend pas ; la fin du mois n'attend pas. La majorité de la population l'a compris, votre majorité parlementaire, toujours pas.
Monsieur le Premier ministre, combien faudra-t-il de catastrophes climatiques, de désastres industriels, de scandales sanitaires, de vies brisées ou détruites ? Combien faudra-t-il de gens mobilisés contre votre inconséquence politique – nous les espérons nombreuses et nombreux dans la rue les 15 et 16 mars et les jours suivants – pour vous faire comprendre et agir ? Ou, puisque vous vous en révélez incapables, pour vous faire céder, laisser la place et partir ?