Chacun d'entre vous s'est-il posé cette question ?
En revanche, Mme Louwagie a tort de refuser par principe la privatisation d'ADP et de La Française des jeux. En effet, l'internationalisation accrue d'ADP passe par sa privatisation. Le problème est donc de définir clairement les conditions d'une privatisation intelligente d'ADP.
Enfin, comme Mme Louwagie l'a reconnu dans son propos, ce texte comporte de bonnes choses. Du reste, en femme prudente qu'elle est, elle s'est abstenue, avec son groupe, en première lecture.