Voilà les deux principes qui se confrontent.
Voter cette loi, c'est faire le choix idéologique de penser que la volonté générale et l'intérêt général ne peuvent pas être portés par un très grand nombre, mais seulement par des individus. Admettons la noblesse de l'opposition que nous avons à cet instant.
Nous ne mettons pas simplement en cause la technique. Nous pourrons le faire, et en discuter dans tel ou tel amendement, mais ce n'est pas ce dont nous parlons pour le moment.
Nous croyons que le XXIe siècle doit être celui du collectivisme.