Je remercie en particulier Philippe Bolo, Jean-Paul Mattei, ainsi que Laure de La Raudière pour ses remarques, Stanislas Guerini pour sa présentation du texte et tous les autres membres de la majorité qui se sont exprimés.
Je veux aussi répondre à M. Ruffin à propos de la langue morte. Il se trouve que je suis, comme vous le savez, un passionné de langues, de langues complexes et vivantes, qu'elles soient française ou étrangères.
Mon discours n'est pas celui d'un inspecteur des finances : je ne l'ai jamais été.