Je le fais aujourd'hui avec les mêmes convictions qu'hier, que j'applique désormais et que je continuerai à défendre demain.
Or, à force de langues complexes et de langues vivantes, me sont revenus à l'esprit des vers de Paul Celan qui m'ont fait penser à vous : « Fais que ton oeil dans la chambre soit une bougie, ton regard une mèche, fais-moi être assez aveugle pour l'allumer ». Je vous laisse y réfléchir.