… on ne voit pas bien à quoi elles servent.
Je suis face à des bonimenteurs, que ce soit vous, monsieur le ministre, que ce soit M. le ministre de l'action et des comptes publics, que j'entendais ce matin, ou bien encore le Président de la République : c'est le discours des bonimenteurs de la Foire de Paris – avec tout le respect que j'ai pour eux ! La différence est qu'avec vous, à la fin, on n'aura même pas l'épluche-légumes. Il faut absolument arrêter de brader Aéroports de Paris et La Française des jeux, et préserver la capacité financière dont dispose notre pays grâce aux revenus de ces deux entreprises pour abonder l'innovation.