L'acquéreur a disparu – il paraît qu'il a été mis en taule – , puis il est réapparu et maintenant il veut vendre, en faisant une petite plus-value de 30 à 40 millions d'euros, d'après ce que dit la presse. C'est donc un bel échec.
Néanmoins, quand il y a trois privatisations, chers collègues, il faut examiner les trois.
La privatisation de l'aéroport de Nice, est-ce un échec ou un succès ?