Éric Woerth a évoqué les objectifs de l'opération. Le premier, le plus évident, est de donner à ADP, leader mondial en son domaine, les moyens de son développement international, comme l'observait Charles de Courson. Or, on le voit bien, être un leader mondial ne peut être une fin en soi ; c'est même une position très risquée : les exemples de BlackBerry, de Nokia, de Kodak, de « Pan Am » – Pan American World Airways – , de TBWA – Trans World Airlines – ou de Rover suffisent à nous le rappeler.