Voilà maintenant trois heures que nous débattons d'Aéroports de Paris et il est toujours une question à laquelle il n'a pas été répondu : pourquoi ? pourquoi voulez-vous privatiser ?
J'ai une théorie : vous ne voulez pas être ceux qui auront fait passer la barre des 100 % du PIB à la dette. Telle est la réalité.