La majorité et l'opposition ne défendent pas la même vision de l'économie. Chaque vision est légitime, mais la nôtre a notre cohérence et notre force.
Je note d'ailleurs, et c'est intéressant, que ce sujet rebat les cartes politiques entre les différents partis. Certains, qui soutenaient farouchement les privatisations lorsque leur candidat à l'élection présidentiel y était favorable, y sont soudain devenus hostiles.