Monsieur Coquerel, je ne fais que vous décrire la réalité légale, celle sur laquelle vous allez voter, qui est naturellement liée à l'opération de cession. Depuis deux ans que dure ce débat, vous nous avez demandé des garanties ; j'ai reçu et écouté tous les parlementaires qui le souhaitaient pour leur apporter les garanties qu'ils demandaient, et je vous réponds maintenant.