… récupérera l'intégralité de la concession d'Aéroports de Paris, qu'il est aujourd'hui obligé de partager, à hauteur de 49,4 %, avec des acteurs privés détenant un droit d'exploitation illimité dans le temps.
J'en viens aux garanties financières. Il va de soi que, si l'opération n'est pas bonne financièrement, l'État ne la fera pas : c'est la meilleure garantie financière que nous pouvons apporter. Si nous voulons vendre maintenant, c'est pour une raison simple : l'actif a été bien valorisé. D'ailleurs, au terme de cette discussion sur l'article 44, je voudrais rendre hommage aux personnels d'Aéroports de Paris, à sa direction, à la gestion qui a été conduite. Si l'État peut faire aujourd'hui une bonne opération patrimoniale…