Je partage totalement l'avis du rapporteur général : il vaut mieux qu'il n'y ait pas une troisième lecture si on ne veut pas aboutir à une révision annuelle du cahier des charges ! Il est vrai qu'il s'agit d'un élément de sécurisation important de cette opération pour nos compatriotes.
Alors que l'évaluation était au départ prévue au bout de trente-cinq ans, nous avions transigé et accepté vingt ans mais les arguments très justes de Laure de La Raudière, ainsi que ceux de M. Peu sur la nécessité d'une révision plus régulière nous conduisent à donner un avis favorable.