Je prends une nouvelle fois la parole pour indiquer que nous renforçons les garanties pour les compagnies aériennes et nos compatriotes avec ce projet de privatisation, puisque le coût moyen pondéré du capital fera désormais l'objet d'un avis conforme de l'autorité de supervision indépendante des redevances aéroportuaires, suite à une proposition de M. de Courson.
Cela ne justifie pas d'avancer la négociation du contrat de régulation, mais je tiens à rassurer M. Boucard : les règles qui définiront les tarifs aéroportuaires après la privatisation seront plus strictes que les règles actuelles, puisque le coût moyen pondéré du capital, qui traduit la rentabilité de l'entreprise et des investissements qu'elle engage, sera désormais contrôlé de manière stricte.