Je souhaite très officiellement prendre la parole sur ce qui est dit dans le journal du soir dont M. Grelier a parlé. Je n'ai jamais fixé d'objectif chiffré. Un jour, à la radio, on m'a demandé quelle pourrait être l'augmentation du nombre et j'ai répondu que cela pourrait aller jusqu'à 20 %, mais c'est de toute façon un maximum et ce n'est pas non plus au niveau national. La réforme vise entre autres à favoriser les passerelles, donc à permettre à des étudiants qui entrent en médecine d'en sortir pour rejoindre d'autres professions ; il est donc très difficile de chiffrer au départ le nombre d'étudiants sortants en fin de deuxième cycle. Je n'ai par conséquent jamais fixé le moindre objectif chiffré. J'espère que cela rassurera les doyens, les étudiants ainsi que les députés ici présents.