… si on veut avoir un investisseur qui s'investit au sens propre, c'est-à-dire qui développe La Française des jeux.
Dix ans me paraissent en revanche trop courts, même si je comprends votre volonté de limiter la durée du transfert au secteur privé de la majorité du capital.
Je vois dans la durée de vingt-cinq ans deux intérêts : le premier est d'inciter l'investisseur à développer La Française des jeux, et le second, évidemment, d'augmenter sa valeur patrimoniale pour l'État.