Malgré la meilleure volonté du monde, j'avoue ne pas avoir compris les arguments de Mme la rapporteure.
Je précise à nouveau que l'amendement que j'ai défendu est porté par Bénédicte Peyrol et Elsa Faucillon. Cette exigence de transparence totale est absolument banale : rien n'est superfétatoire. Les circuits d'information existent, et je ne vois pas pourquoi les banques ne pourraient pas fournir les informations demandées.
La question de l'utilisation des fonds déposés sur les livrets de développement durable et solidaire et les livrets A est fondamentale et extrêmement sensible. Il en va du contrat de confiance entre la Nation et les gestionnaires de ces placements dont la finalité est bien précise.
Encore une fois, madame la rapporteure, je vous demande de préciser vos arguments, auxquels je n'ai rien compris. Avec le groupe GDR et Bénédicte Peyrol, je défends cette exigence de clarté qui ne doit heurter aucun des démocrates ici présents.