Je rejoins les propos de M. Véran. Le sujet est éminemment délicat, tant pour les personnes qui se verraient habilitées que pour les conséquences sur le plan sociétal. Il faut prendre le temps de réfléchir à ce qu'il convient de faire, pour ne mettre à mal ni les uns ni les autres, tout en considérant l'urgence attachée à cette question. Ce n'est pas pour rien que cet acte relève de l'autorité médicale.