Tous ces amendements reposent sur la coercition. Je comprends que les élus – dont je suis – s'inquiètent et cherchent des solutions pour améliorer l'accès aux soins. Mais ce que l'on a pu constater ces derniers mois dans les territoires, c'est un véritable dynamisme visant à améliorer l'accès aux soins dans le cadre de coordinations dont nous aurons l'occasion de parler, notamment dans la suite du texte. Toute mesure de coercition mettrait un coup d'arrêt à ces initiatives, et c'est pourquoi je formule un avis défavorable.