Il en va de la médecine comme de la fiscalité écologique : on ne fait pas une bonne réforme contre ceux qu'elle concerne. Quand les syndicats de médecins et les syndicats d'étudiants en médecine manifestent très majoritairement pour dire leur opposition formelle à toute mesure de coercition, quelle qu'elle soit et quelle qu'en soit la nature, on a la certitude qu'on ira à l'échec si on pousse dans cette direction. C'est une question de bon sens et de pragmatisme.