Qu'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai pas dit : si j'ai reconnu que le taux de dépistage actuel était probablement trop bas, j'ai également insisté sur la nécessité de ne pas s'appuyer seulement sur les gynécologues pour améliorer les choses. J'ai souligné qu'il fallait recourir aussi – je dirai même avant tout, dans les zones où la situation le justifie – aux médecins généralistes et aux sages-femmes, qui ont toute compétence pour faire réaliser les examens de dépistage du cancer du col de l'utérus et le font d'ailleurs déjà au quotidien, dans le cadre d'un suivi régulier des femmes : c'est sur le rôle de ces professionnels que nous devons mettre l'accent.