Ce sujet relève de l'évolution des compétences car, comme vous le savez, les aides-soignantes n'ont pas le droit, théoriquement, de franchir la barrière cutanée. Cela fait partie des dossiers sur lesquels le ministère travaille aujourd'hui : comment faire évoluer les métiers et les carrières ? Il est difficile d'inscrire dans la loi une telle mesure, sans être certain qu'un médecin pourra interpréter les résultats. Ce n'est pas tant l'acte que son interprétation qui pose problème.
Je suis défavorable à l'inscription dans la loi de nouvelles compétences pour des professionnels. Nous travaillons sur les décrets de compétences, mais avec tous les professionnels concernés, dans le cadre des concertations à l'intérieur du ministère.