J'ai du mal à comprendre votre argument. On voit bien qu'il n'y a pas tant d'élus que cela dans les conseils de surveillance, si l'on regarde leur composition. Ce sont des instances assez rétrécies et l'on constate qu'il y a aujourd'hui une véritable déconnexion entre les élus nationaux et les territoires. C'est un des enseignements du grand débat qui mérite de ne pas être balayé comme vous le faites.
L'amendement ne revient pas à demander grand-chose. Il y a d'ailleurs peu d'établissements de santé dans nos circonscriptions – parfois, il n'en existe même pas. Permettre une participation aux séances avec voix consultative ne créerait pas de charges supplémentaires mais aiderait à mieux appréhender les problématiques de santé, qui sont une vraie thématique nationale.